Il ne nécessite pas pour autant d’avoir suivi le premier.
Certains courants de l’écologie, tels que l’écologie profonde, revendiquent ouvertement l’hindouisme et le bouddhisme comme sources d’inspiration pour penser les racines de la crise écologique. Ils nous proposent des solutions, qui dépassent le cadre purement politique, pour engager une transformation intime de notre « être-au-monde ».
Dans le sillage tracé par l’Encyclique Laudato Si, nous continuerons donc à penser la « conversion écologique » en dialogue avec les autres traditions.
Plan
1. Arne Naess et l’écologie profonde : pour une analyse des racines de la crise écologique, vers un dépassement de la dualité homme nature
2. Le corps, pivot de la relation entre l’homme et la nature dans la pensée des correspondances taoïstes, « la nature en nous »
3. Aux sources de la non-violence gandhienne : l’hindouisme et la notion d’unité du vivant
4. Postérité et efficacité de la non-violence aujourd’hui : une stratégie toujours d’actualité ?
5. La non-dualité bouddhique comme voie d’identification avec le vivant : interdépendance et compassion
6. Le bouddhisme zen japonais, vers une spiritualité de la résonance
Enseignante
Isabelle PRIAULET, Docteur en philosophie
Horaires / Lieu
Mardi de 15h à 17h
5 novembre
10 décembre 2019
14 janvier
7 avril
5 et 26 mai 2020
Amphi K201
La salle est susceptible de changer en fonction du nombre d’inscrits